Le virus Tchernobyl s’est introduit dans de nombreux campus universitaires américains. Il a causé la perte de travaux infomatisés de plusieurs étudiants à un moment crucial de l’année, celui de la préparation des examens.
À la Virginia Tech, environ 500 étudiants ont déclaré avoir eu des problèmes avec leur ordinateur. Les universités George Washington et Johns Hopkins de même que les universités de Richmond, Virginie, ont rapporté des incidents liés à ce virus. La Princeton University et le Boston College ont signalé une centaine de cas chacun.
Le virus s’est répandu par l’intermédiaire d’un fichier joint dans un courrier électronique, capable d’infecter les fichiers de Windows 95 et 98 et de s’attaquer ensuite au disque rigide.
Selon Jeff Carpenter du Computer Emergency Response Team de la Carnegie Mellon University, si les universités et les utilisateurs d’ordinateurs personnels ont été les plus affectés par le virus, c’est parce qu’ils ne sont pas suffisamment protégés contre les virus et qu’ils téléchargent des fichiers sans prendre les précautions qui s’imposent.
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