Les différents logiciels de filtrage utilisés dans les écoles et les bibliothèques publiques ont été critiqués parce qu’ils bloquent l’accès à beaucoup de bons sites dans leurs efforts pour interdire l’accès aux sites obscènes.
Ces logiciels, souvent, ne font pas la différence entre des expressions comme «les seins dressés des adolescentes» et «la recherche sur le cancer du sein», et mettent les deux sites dans le «cybertrash».
Une compagnie appelée RuleSpace soutient qu’elle a probablement une solution à ce manque de discernement : son logiciel, le WebChaperone, est basé sur un moteur doté d’une intelligence artificielle (appelé le Intelligent Content Recognition Technology) et est conçu pour différencier le contenu légitime de la pornographie.
Le produit est prévu pour les parents, qui devraient être responsables d’utiliser de tels filtres, mentionne le fondateur de RuleSpace, Adrian Russell-Falla. Ce dernier se range aux côtés de l’American Library Association, qui n’approuve pas l’utilisation de logiciels de filtrage car
«ils bloquent l’accès à la liberté d’expression protégée par la Constitution.»
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