La première section du National LambdaRail (NLR) voit le jour cette semaine. Elle réunit le Centre TeraGrid à Chicago et le Centre de superinformatique de Pittsburg.
Éventuellement, le projet NLR va tirer parti de 10 000 milles de câble en fibre optique non utilisés afin de créer un réseau ultra-rapide pour la recherche et autres activités de nature scientifique. Les employés participant au projet ont déclaré qu’un réseau à haute-vitesse dédié est essentiel au développement en cours de projets de reherche à haute intensité de données comme par exemple le Sloan Digital Sky Survey, un projet tridimensionnel portant sur le génôme humain.
En ce moment, des programmes comme ceux-là génèrent une quantité importante de données qui ne peuvent être transmises efficacement par le biais des réseaux actuels. Une fois terminé, le NLR devrait contenir 40 canaux ayant chacun une capacité de 10 Gbps ou 10 milliards de bits par seconde.
Les chercheurs seront aussi capables d’utiliser la LambdaRail pour des applications comme la vidéoconférence à haute-définition d’image.
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