Ce profil de marché « Secteur de l’apprentissage électronique - Sud-Est des États-Unis» réalisé par Anne Vincent, en mai 2003 par le GRAMI (Groupe d’analyse des marchés internationaux) - CETAI (Centre d’études en administration internationale) des HEC de Montréal et commandité par Développement économique Canada, présente le secteur de l’apprentissage électronique dans les États du sud-est des États-Unis (SEUSA). Cette région englobe les États du Tennessee, de la Géorgie, de la Caroline du Nord et du Sud, de l’Alabama, du Mississippi et de la Floride.
Ce rapport s’adresse principalement aux petites et moyennes entreprises (PME) qui cherchent à pénétrer le marché de l’apprentissage électronique dans les États du SEUSA.
Bien que le marché de l’apprentissage électronique aux États-Unis ne progresse pas aussi rapidement que vers la fin des années 90 et que l’éclatement de la bulle Internet, en 2001, ait eu des répercussions sur l’ensemble du secteur des technologies de l’information, les entreprises ont tout de même des besoins de formation importants que l’apprentissage électronique peut combler.
Le marché américain de la formation en entreprise et celui de l’éducation (préscolaire, primaire, secondaire et universitaire) sont tous deux considérables - ils équivalaient respectivement à 54,2 et 58 milliards de dollars US en 2002. Le marché du Sud-Est américain semble très compétitif et est composé d’un grand nombre d’entreprises et d’établissements. Le bassin des entreprises demandeuses de formation est très vaste et comprend plusieurs firmes parmi les 500 répertoriées par la revue Fortune.
La principale stratégie conseillée dans ce rapport est la recherche d’alliances stratégiques avec des firmes oeuvrant dans les domaines du multimédia, du développement de logiciels interactifs et de la technologie Internet qui sont déjà installées dans les États du SEUSA. Bien que la concurrence locale soit féroce, les occasions d’affaires dans le secteur de l’apprentissage électronique sont nombreuses et les PME québécoises et canadiennes qui sauront profiter de leurs avantages compétitifs (taux de change favorable, main-d’oeuvre qualifiée et abordable, etc.) devraient être en mesure d’en retirer les bénéfices.
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