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Des centaines alliant utilité et humour.
Publié le 15 octobre 2007 Mis à jour le 15 octobre 2007
Le développement des pays de l’Afrique était le point central des deux jours de discussions et d’échanges que plus de 50 experts et les représentants de l’Union Européenne ont eu cette fin de semaine au Cameroun. Ces assises s’inscrivaient dans le cadre de l’initiative EuroAfrica-Ict.
L’objectif de cette initiative est de promouvoir la coopération scientifique et technique puis la Recherche et le Développement entre l’Union européenne et l’Afrique subsaharienne. Les différents pays qui ont accouru à Yaoundé provenaient du secteur privé et du secteur public, voire de la société civile. Ces pays, Gabon, RDC, Rwanda, Sénégal, Cameroun, représentés par des acteurs clés du domaine des Tic ont reçu des informations et des conditions leur permettant de prendre part au septième programme de cadre de recherche & développement de la commission européenne.
Il importe de rappeler que, pour cet atelier, l’Initiative EuroAfrica-Ict, qui veut favoriser des partenariats entre l’Europe et l’Afrique dans le domaine des Tic, définit un cadre stratégique pour le développement de cette coopération fondée sur une concertation accrue entre les projets et les initiatives de coopération et sur une consultation étendue et ouverte des organisations et institutions européennes et d’Afrique. L’Afrique attend de cette initiative la mise en oeuvre des services d’assistance et la mise à disposition des service de recherche de partenaires.
Plusieurs communications ont été présentées au cours de cette rencontre. Portant globalement sur l’état des lieux dans les pays africains. Elles se sont aussi focalisées sur des réflexions de fond relatives aux usages des Tic pour le développement des populations. L’analyse de la coopération entre l’Afrique et l’Union européenne a été examinée autant qu’a été passée au crible de l’analyse la situation et les enjeux de la coopération dans le secteur des Tic.
Cette voie a été suivie par plusieurs contributeurs dont l’Auf et la Coopération française, puis par des utilisations pratiques des Tic dans les écoles et les lycées ou dans le domaine de l’agriculture et dans la gestion quotidienne à travers quelques plates-formes. Les représentants de l’UE ont suffisamment traité des conditions de participation à l’Initiative en explicitant, par des travaux pratiques, les différents enjeux mis en chantier pour le deuxième appel à projet qui prendra fin au mois de juin. Six défis sont lancés cette année. Il s’agit de
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