Chuchoter à l'oreille d'un âne
Les animaux ont plus de 400 millions d'années d'histoire et d'apprentissage qui peuvent nous enseigner sur nous même
Publié le 02 août 2007 Mis à jour le 02 août 2007
La deuxième moitié du mois de novembre, en 2005, avait été extrêmement laborieux pour la Tunisie. Elle avait en effet organisé, à l’époque, la deuxième phase du SMSI qui avait drainé beaucoup de monde dans ce pays. Si on attend encore des résultats réels et concrets, il n’en demeure pas moins que le suivi est assuré.
Le rapport 2007 examine une série d’études de cas dans plusieurs pays en développement. En effet, il analyse les stratégies de renforcement des infrastructures sur les TIC et de l’élargissemnt de l’accès aux TIC. On y trouve aussi un examen du marché et de la réforme réglementaire en même temps qu’il scrute les stratégies de promotion de l’investissement et les incitations.
L’étude des cas concerne les économies des pays développées et celles des pays pauvres. Dans une analyse différentielle des situations des Tic dans le monde le rapport recourt aux méthodologies d’évaluation approuvées par le Sommet Mondial sur la Société de l’Information (SMSI) pour mesurer « l’opportunité » dans l’accès aux TIC, en utilisant l’indice d’opportunité numérique (DOI), développé par la Plateforme d’Opportunité Numérique, et l’indice d’opportunité TIC de l’UIT (ICT-OI).
La Tunisie et le Maroc en tirent respectivement les conséquences qui s’imposent et projettent les actions à prendre à l’horizon 2011.
On peut lire, en anglais, le rapport complet (pdf, 13.5 Mo) ou le télécharger par chapitres :
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