Il ne se présente presque plus, dans nos colonnes, le Cned, qui forme plus de 300 000 personnes par an, et met en place d’importants moyens logistiques et humains pour parvenir à ses fins.
Dans une interview à un journal en ligne, le DSI, Rossi, dévoile les plans futurs de l’entreprise d’éducation en ligne.
L’objectif de cette maison est de devenir un prestataire de services et de formation en ligne, mais aussi d’adopter le Web 2.0 et le nouvel environnement informatique et des services du e-learning pour favoriser les utilisateurs et les apprenants en ligne que gère le centre. Les utilisateurs africains seront probablement les plus indiqués, qui n’attendront plus des mois pour recevoir les textes d’apprentissage.
Pour autant, l’état des télécommunications et la disponibilité des accès internet n’est pas résolu. Les difféfrents plans nationaux des Tic, les fameux NICI, établisent pourtant de grandes avancées dans l’accès et les utilisations des Tic et du net en Afrique.
Les exigences de la modernité et la célérité des moyens de l’éducation par les télécomunications riquent encore de laisser l’Afrique à la traîne. La formation à distance en Afrique connaît déjà de grandes difficultés et les progrès que compte apporter le Cned ne sont pas forcément en faveur des apprenants d’Afrique dont les structures continuent de patiner.
Quoi qu’il en soit, cette institution entraîne de nouvelles manières d’impliquer les acteurs éducatifs, apprenants, enseignants -tuteurs, techniciens pour courir facilement vers le succès. Ceux qui ne suivent pas le rythme attendront peut-être... pour toujours.
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