Dans Mieux travailler ensemble à distance, Thierry Noisette plaide pour une réduction des déplacements au profit des échanges à distance. Chiffre à l’appui, l’auteur de l’article soutient que ce nouveau mode de travail permettrait de réduire les émissions de dioxyde de carbone et participerait, de fait, de la lutte contre le réchauffement climatique.
« Pour la Consumer Electronic Association, qui regroupe 2 000 entreprises américaines de l’électronique, le télétravail de 3,9 millions d’employés - travaillant au moins un jour par semaine à domicile - permet d’économiser 3,2 milliards de litres d’essence par an.
Soit 14 millions de tonnes de CO² de moins dans l’atmosphère, l’impact de 2 millions de voitures sur les routes. »
Gagné certes, mais il reste encore du chemin à parcourir. La technologie du télétravail se doit de s’améliorer de sorte qu’on aboutisse à une facilité d’usage, à une efficacité et à une intensité tel qu’on en trouve dans le cadre traditionnel d’un travail en commun.
L’article intégral - Mieux travailler ensemble à distance