On trouve plusieurs simulations boursières sur le marché. Certaines visent un but pédagogique mais aussi de recrutement de clients.
Par exemple, en français:
ces simulations sont tournées vers le public en général ou les étudiants et s'appuient sur une ou plusieurs bourses (Paris, Montréal, New York, etc). Plusieurs visent évidemment à attirer le public et à tenter leur chance, tout en sachant que 75 % d'entre eux perdront leur mise quand ils passeront au vrai courtage d'actions.
Plusieurs simulations proposent à des individus ou des équipe d’investir un montant fictif, par exemple 100 000 $€. À
partir de leurs résultats, un classement des meilleurs est
établi. Comme les
simulations sont collées sur les vrais cours de la bourse, les
performances sont à l’avenant. Pertes importantes, stress,
déprimes, craintes, rien n'est épargné.
Avec comme effet
pédagogique que certains jeunes craignent de se brancher à leur compte, que d’autres ont
changé leurs perspectives de carrière et que plusieurs se désintéressent de la chose ou concluent que la bourse est trop
exigeante pour leurs nerfs.
Le message
Ce qui n’est peut-être pas le message que l’on voulait transmettre au départ, mais qui a au moins l’avantage de ne pas être un faux message. La finalité marketing a été dépassée par la finalité pédagogique.
La bourse, c’est comme la vie, il y a des hauts et des bas.
Pour un article sur le sujet : Playing the Market, These Kids Are Losing a Lot of Play Money – Wall Street Journal
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