Un débat à en perdre son latin
L'apprentissage du latin a fait partie de ce qu'on a appelé les études classiques. Un apprentissage qui a souvent été associé à une certaine classe sociale plus riche. Or, dans l'idée de démocratiser la langue tout en gardant du temps pour les matières « plus importantes », la dernière réforme du collège a fait grincer des dents les professeurs de langue ancienne. Est-elle le couperet sur l'enseignement du latin? Et, au fond, celui-ci apporte-t-il quelque chose aux élèves ?