Un musée d’art asiatique en ligne
Lancement d’un musée d’art asiatique en ligne
Publié le 20 septembre 2010 Mis à jour le 20 septembre 2010
Plastico...
Nous produisons l’équivalent de 30 kg de produits de plastique par année par personne vivant sur terre. Moins de 5 % sont recyclés. Une bonne part est enterrée, l’autre part déversée dans les océans...
...et comme le plastique flotte, cela donne «La grande plaque de détritus du Pacifique (Great Pacific Garbage Patch)», plus grande que la France. On en retrouve plusieurs autres de ces concentrations de détritus un peu partout sur les océans du monde.
L’art du recyclage domestique du plastique n’existe pas et ce n’est pas demain que le pétrole, dont est tiré le plastique, va arrêter de couler. En somme, un attaque supplémentaire à notre environnement, qui s’additionne aux autres agressions et qui, comme plusieurs de celles-ci (hormones, radio-activité, pesticides, agents de conservation, métaux lourds, etc), s’accumule jusqu’à dans nos tissus.
La planète est un système fermé : tout ce qui est produit sur la planète reste sur la planète. Il faudra bien trouver un moyen de digérer chacun nos 30 kg de plastique par année.
Bio...
De l’autre coté on constate une diminution de la bio-diversité partout au monde, même dans les zones protégées, sans trop que l’on sache pourquoi dans certains cas. Que faire ? ...
La commission européenne présente un état des lieux assez complet et les options qui sont offertes
Virtuo...
Internet est particulièrement riche en ressources sur la biodiversité : vidéos en tous genres. carnets d'expéditions, activités de sensibilisation, réalité augmentée, simulateurs, jeux, campagnes d'actions, événements, blogues, etc. La présence virtuelle, le souvenir et même les reconstitutions d'environnements et d'espèces disparues nous font prendre conscience de la richesse de la vie.
La bio-diversité se retrouve t-elle dans Internet à mesure qu'elle disparait de la terre ? «En représentation» de la vie; est-ce bien la vie ? Nous sommes dans le jeu bien plus qu'un observateur. Dans cet éditorial écrit il y a dix ans (La nature sauvage), je n'aurais pas parié que je pourrais réécrire exactement la même chose aujourd'hui : «Accorder le droit d'exister à la vie nécessite de s'y inclure».
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