Coopération : l’Inde à Toulouse pour la cyber-université.
Le projet est de créer une plate-forme d’échange d’information entre la France et l’Inde dans les domaines de la recherche et du développement, de l’éducation et du transfert de technologie.
Publié le 05 octobre 2009 Mis à jour le 05 octobre 2009
Dans plusieurs états américains, les gouvernements intègrent «l’école à domicile» aux programmes réguliers et offrent tout le support désiré via les cyber-écoles. L’école à domicile, au vu de ses résultats objectifs, est supportée par les pouvoirs publics comme une alternative intéressante dans plusieurs situations et milieux, autant économiquement qu’en termes pédagogiques. Plusieurs cyber-schools comptent plus de 50 000 inscrits !
Mais dans la plupart des pays francophones, la situation est à peu près inversée : les pouvoirs publics marginalisent et compliquent la vie des parents qui choisissent ce mode d’éducation pour leurs enfants.
Et les quelques dérives qui apparaissent dans ce contexte, sont brandies comme justification à encore plus d’entraves et de contrôles. Étrangement, ces dérives n’ont plus cours quand l’alternative est respectée.
S'aider soi-même
La situation étant ce qu’elle est, il ne reste qu’aux parents à s’organiser et c’est ce qu’ils font grâce à Internet.
Une visite des sites fédérateurs et des sites locaux comme celui-ci (Gem Québec) permettent de comprendre quel genre de soutien essentiel les parents ont besoin et des activités créés pour y répondre.
On espère ardemment qu’un dialogue pourra s’établir entre les pouvoirs publics et ces associations opiniâtres.
Réseaux d'entraide de l'éducation à domicile
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