L’intégration dans un groupe : un préalable pour apprendre
S'intégrer c'est faire attention à la dynamique de groupe, bien sur, mais désormais aussi à la dynamique numérique en place. il faut aussi intégrer le groupe dans sa dimension numérique !
Publié le 25 novembre 2009 Mis à jour le 25 novembre 2009
Les salons en ligne pour aider les étudiants à choisir la bonne université ou le bon collège sont de plus en plus fréquents et populaires.
Si le principe peut sembler bizarre à première vue, il n’en demeure pas moins vrai que ces salons sont très courus. L’idée est de proposer un regroupement de vitrines d’un grand nombre de collèges et d’universités, par région ou spécialité.
Ensuite, les visiteurs identifient un certain nombre d’institutions qui les intéressent particulièrement, parcourent leurs informations de base et font connaître leurs disponibilités, leurs coordonnées et leurs éventuelles questions.
Les journées officielles du salon, les «visiteurs» peuvent parcourir les présentations détaillées et les descriptions des services pour chaque collège et de là entrer en relation directe par chat, audio ou vidéo avec différentes personnes, allant des étudiants qui fréquentent l’institution aux représentants des services financiers ou sportifs en passant par le responsable de l’hébergement et le chargé des inscriptions. ils peuvent aussi assister à des conférences et exposés proposés par des spécialistes, comme dans les salons réels.
Comme les étudiants dans une classe qui n’osent poser une question par gêne, les jeunes étudiants ou leurs parents sont souvent dans la même position lors de visites ou de salons. Il est gênant de demander en public s’il y a de l’aide financière ou s’il y a des services spécialisés pour «_________nommer ici le handicap». Ce genre de problème ne se pose pas dans le salon virtuel et la relation peut aller encore plus loin quand les gens se reconnaissent d’une visite à l’autre, car ces salons sont plus fréquents et les gens peuvent y revenir plus d’une fois.
Au niveau des coûts, ils sont évidemment bien moindres pour les institutions, les répondants étant «en attente» et pouvant vaquer à d’autres occupations parallèlement. Compte-tenu du peu d’espace alloué dans les salons réels, la plupart des institutions ne peuvent proposer quedeux ou trois répondants, et pas les plus qualifiés, alors que dans les salons virtuels ils peuvent en mettre des dizaines. Moins de papiers, moins de transports, moins d’administration, des références plus précises, des listes de personnes intéressées déjà intégrées au système, etc. Les salons virtuels offrent plusieurs avantages importants.
Certains salons attirent jusqu’à 25 000 personnes durant deux à quatre jours et regroupent plusieurs centaines d’institutions. Ces organismes organisent des salons à chaque mois !
Voici trois de ces services de «College fairs»
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