La Gymnastique de l’anglais par courriel pour la formation professsionnelle***
Un moteur d’intelligence artificielle offre une personnalisation dynamique de la pédagogie
Publié le 08 août 2005 Mis à jour le 08 août 2005
Il n’est plus un secret que l’anglais envahit le monde par les articles scientifique, par le commerce et depuis deux décennies, par le Net. Les mots anglais connotent de nombreuses réalités que le français a peine à reconquérir. Mais les concepts et les idées, bien que lents à s’imposer, se posent à peine.
On a ainsi été amené à hésiter entre "arobase", "at" et
"arrobe"
comme le conseille le journal officiel français dans un récent article. On hésite également, pour rester francophile à merci, à dire e-mail "mél", en lieux et places de "courriel" ou "partagiciels", voire "adel" pour signifier courrier électronique ou adresse électronique.Les profs de français auront donc à sévir, souris en mains et à coups de clics, pour éviter que leurs élèves, dans leurs dissertations, n’utilisent le préfixe e- en français auquel ils auront à substituer la très courte locution "en ligne" dont la Commission générale de terminologie et de néologie prône l’usage.
Cette recommandation est motivée pour éviter "les risques de confusion liés aux incertitudes de prononciation et surtout de sens qu’ils recèlent". On sait que le préfixe anglais "e" provient de l’abréviation "electronic". Mais selon la commission, "e- est un néologisme hybride entre lettre, mot et concept, porteur de difficultés de tous ordres".
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