Publié le 16 mai 2005 Mis à jour le 16 mai 2005
C’est ce qui ressort d’une vaste enquête menée de novembre 2003 à mai 2004 auprès de 1180 enseignants québécois. Ils sont tous conscients de l’apport que peuvent avoir les TIC dans leur enseignement, mais si seulement on leur montrait comment !
Deux extraits : La situation actuelle des élèves :
Selon les enseignants qui ont répondu au sondage, les principaux volets des TIC maîtrisés par les élèves sont, dans l’ordre :
Il est maintenant temps de les amener à un niveau supérieur, avec des activités comme Utiliser certains périphériques (caméra numérique, numériseur, etc.), Publier de l’information sur le site Web de l’école (ou tout autre site), Réaliser des recherches plus avancées sur Internet, etc. Toutes des compétences qui leur seront presque essentielles dans leur vie professionnelle. Mais comment y arriver ?
Des profs insatisfaits :
Lorsqu’on leur demande leur niveau de satisfaction à l’égard des TIC à l’école, voici les principaux points pour lesquels ils sont insatisfaits ou très insatisfaits.
Non loin derrière, on remarque les facteurs relatifs à la quantité et à la qualité de postes de travail disponibles. Rien de nouveau ici..."
Un résumé de la recherche des professeurs de l’Université de Sherbrooke soutenu par la Direction des Ressources Didactiques.
L’ensemble des rapports de la recherche : « Enquête sur les profils d’utilisation des technologies de l’information et de la communication en enseignement au Québec » de l’université de Sherbrooke.
Accédez à des services exclusifs gratuitement
Inscrivez-vous et recevez nos infolettres en pédagogie et technologies éducatives
Vous pourrez aussi indexer vos ressources préférées et retrouver votre historique de consultation
M’abonner à l'infolettreVous pourriez aussi aimer:
Mobile learning : le futur du développement professionnel?
Se former tout au long de sa vie est maintenant un incontournable dans une économie qui se transforme à grande vitesse. Le e-learning a été d’une grande aide afin de former des professionnels plus facilement. Le futur semble particulièrement radieux pour l'apprentissage sur mobile, plateforme de prédilection pour de courtes formations ludiques.
Numérique et alphabétisation : la solution pour tous les pays ?
La question de l’alphabétisation dans le monde demeure essentielle. Un nombre encore trop important de jeunes et moins jeunes ont des difficultés ou des incapacités de lire ou d’écrire un texte simple. Bien que les taux augmentent dans certains pays africains, le continent abrite en outre beaucoup d’analphabètes. Et si la solution passait par des formations sur téléphone mobile? Et si, du même coup, les Africains développaient eux-même leur alphabétisation numérique?
La bibliothèque, alliée de l'autoformation
depuis longtemps, les bibliothèques s'efforcent de faciliter l'accès aux savoirs pour ceux qui veulent apprendre seuls. Le bibliothécaire apparaît là comme un guide précieux, pour aider l'utilisateur à se repérer dans la masse des documents disponibles.
Stimuler l’apprentissage dans un monde en réseau - La politique scientifique américaine
Les défis et opportunités du cyber-apprentissage
« Éducation en Afrique subsaharienne » : contribuer, mais pas n’importe comment -
Pour ceux qui s’interrogent sur la pertinence d’investir dans les technologies de l’information en Afrique alors que, dans plusieurs régions, il n’y a pas un pour cent de la population qui a accès au téléphone et que l’éducation supérieure ne touche que 2 % des individus... la réponse est nuancée et surprenante.
