LML : l’apprentissage géré par l’apprenant***
A l’école de la formation et de l’apprentissage toute la vie...
Publié le 30 juin 2002 Mis à jour le 30 juin 2002
Des chercheurs prédisent que l’ampleur du contenu sur la Toile va susciter l’émergence de nouveaux services de traduction. Eduard Hovy de l’Institut des sciences de l’information de la University of Southern California commente le phénomène ainsi : «Les gens se disent que tout ce qu’ils cherchent existe déjà sur le Web et y est même probablement déjà traduit».
Si ce chercheur dit vrai, le rôle de la traduction se résumerait, grosso modo, à trouver et à identifier des exemples, faisant en sorte que les grandes règles ne soient pas syntaxiques mais sémantiques. Ainsi un ordinateur qui peut générer des déductions en analysant le contexte sera en mesure de saisir que le mot «banque» (
bank
) juxtaposé au mot «compte» réfère à une institution bancaire et non pas à la rive d’un cours d’eau (bank of a river
).Toutefois, Hovy et son équipe ont apparemment conclu qu’en fait d’exploration du Web le développement de solutions de traduction est moins approprié qu’un choix entre des solutions de rechange au logiciel expert de traduction plus traditionnel.
L’article au complet : " Breadth of content on Web could improve translation technology"
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