Une équipe de volontaires et de bénévoles
On se demande au premier abord pourquoi on a des cours en ligne. La réponse sourd du bas de la page, qui identifie les auteurs de ce beau travail. Pour eux, Fr@m@net se particularise comme le site des enseignants de français. Ce site est mis à jour et est sans cesse enrichi
par des enseignants entièrement bénévoles, tous fervents utilisateurs des TICE dans leur discipline. Il a été mis en oeuvre dans l’objectif de faire profiter gratuitement à tous les enseignants du travail laborieux que nous faisons et qui nous paraîtrait bien démesuré s’il devait rester enfermé entre les murs de nos établissements.
Ces enseignants souhaitent également encourager l’utilisation des nouvelles technologies dans l’enseignement, en proposant les ressources qu’ils ont eux-mêmes expérimentées, et en essayant de rechercher constamment de nouvelles pistes pour leur exploitation pédagogique. Il faut également rappeler que Fr@m@net est essentiellement dédié à l’enseignement du français, bien que des enseignants de toutes les disciplines y collaborent, et qu’il puisse aussi intéresser tous les enseignants, étant donnée la particulière transversalité inhérente à l’utilisation des TICE.
La richesse du site est inouïe et fabuleuse. Au sens étymologique de ces termes. Il faut y aller pour découvrir soi-même les outils et les contenus que nous proposent les auteurs. les profs de français sont les plus gâtés : des cours de français en ligne et en ouverture du site, les procédés de réalisation de la progression de cours en 6ème ou en 4ème. Tenez : le sommaire vous offre au menu comme
Cours et exercices interactifs à voir et à télécharger
- Comprendre les consignes ;
- Les noms et leurs substituts ;
- Le système des temps (4e);
- Terminaisons verbales en [i] et [y] ;
- les homophones ;
- Terminaisons verbales en "é", "ai", "er" ;
- Introduction aux fonctions dans la phrase ;
- Cours et exercices en vrac
- Cours français / maths.
En prime, des logiciels, des dossiers, les corrections, des récents examens officiels du Brevet, etc. Si nous devons nous réjouir de ce travail de fourmis, il reste pour nous autres qui n’avons pas le même programme que les Français, de regarder ces cours et ces exercices avec beaucoup de circonspection. Ils sont comme un livre, ni vraiment mauvais, ni vraiment trop bons. C’est l’usage qu’en fait l’enseignant dans la salle de classe, l’adaptation qu’il propose qui rend l’outil pertinent. On ne dormira pas sur nos lauriers.
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