Eric Kriss, le Secrétaire des fiances et de l’administration de l’État du Massachusetts, a ordonné au principal chef de la technologie de l’État de choisir les technologies à code et à standards ouverts partout où c’était possible.
Les applications pour lesquelles on ne trouvera pas d’alternatives «open source» économiques pourront toujours être achetées de vendeurs tels Microsoft, qui n’offrent pas l’accès à leur code source.
Quoique le budget en technologies de l’information du Massachusetts soit relativement modeste comparé à d’autres acheteurs de logiciels, des analystes prédisent que la politique officielle de l’État contre les logiciels propriétaires pourrait mener ultimement des compagnies comme Microsoft à des difficultés.
Laura DiDio du Yankee Group affirme :«Le ruisseau d’aujourd’hui pourrait devenir une inondation en 2005 ou 2006».
Des critiques de la politique, comprenant Mike Wendy de la Computing Technology Industry Association (COMPTIA), affirme de son coté que cela limitera les choix de l’État et que ce sera éventuellement mauvais pour les payeurs de taxes. (Microsoft est une des principaux membres de la COMPTIA).
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