La granularité est une notion que l’on retrouve dans de nombreux domaines. En radiologie ou en photographie, par exemple, on parle de la granularité des films qui, si on les regarde à la loupe ou au microscope apparaissent comme étant des points plus ou moins granuleux, donc plus ou moins nombreux, selon la densité du film employé. En cuisine, on parle de sucre plus ou moins granuleux selon qu’il s’agit de sucre ordinaire ou de sucre à glacer.
En informatique, sur le site de Linux-France, la granularité est définie comme étant la «Taille minimale d’un élément pouvant être manipulé par un système. La granularité d’un logiciel de réplication de base de données peut être, par exemple, un champ. La granularité d’un programme est un facteur essentiel de ses performances sur une machine parallèle».
Dans le lexique du site Arctia, nous apprenons que granulariser la formation, c’est «découper le contenu d’une matière en de nombreux items afin de pouvoir les combiner dans des parcours pédagogiques différents en fonction du niveau et des attentes de chaque apprenant».
C’est cependant sur le site de Tecfa que l’on retrouve le meilleur exemple de granularité appliqué à la formation.