Le veilleur, du guetteur solitaire au nageur en eaux vives
Autrefois, du temps où, du haut de la tour on voyait arriver les chevaliers de très loin à l'horizon, veiller était une sinécure. C'est aujourd'hui un sport d'adresse et de vitesse.
Publié le 24 octobre 2004 Mis à jour le 24 octobre 2004
Après les explications théoriques (voir article " Ingénieries et stratégies des projets FOAD"), passons à un cas pratique. Avec en prime, une interview de Marie Carmen HURARD chef de projet et représentante de la société Mille images qui a développé le dispositif. Du distanciel présentielThot avait déjà repéré l’initiative en ligne Hygienosia. Financé par le Ministère de la Recherche en 2001-2002 dans le cadre des campus numériques, cette action de formation à distance a pour but de prévenir du risque infectieux professionnel et nosocomial (hygiène, santé au travail) afin d’impulser une dynamique de changement des pratiques en hygiène. Une expérimentation auprès de Maisons de retraite mutualistes des Pays de la Loire fut présentée couvrant 13 établissements, 13 correspondants, 60 participants à la formation. La formation comprenait 16 séances de 2h sur une période de 9 mois. Retour sur une séance typeAu sein d’un établissement de soins, une personne salariée (qualifiée de correspondante) anime un groupe de 4 à 5 collègues. Chaque séance suit une chronologie précise :
La difficulté est de tenir le rythme dans le tempo des 2 heures. Quinze jours plus tard, une autre séance redémarre. Qualité sans normeLes facteurs clés de réussite de ce dispositif sont multiples :
Simple et semble-t-il efficace. Pour poursuivre avec Marie Carmen HURARD chef de projet et représentante de la société Mille images, consultez notre interview au sein de l’article " Hygienosia questionné".
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