La recherche a été développée pour mieux comprendre comment les villes planifient pour atteindre l'ODD 4 [Assurer l'accès de tous à une éducation de qualité).
Plus précisément, la recherche s'intéresse à la collaboration entre responsables municipaux et communauté éducative locale (personnels scolaires, parents, élèves, organisations de la société civile, entreprises privées, etc.) ainsi qu'avec d'autres secteurs publics.
« L'éducation ne fonctionne pas en silos. Pour offrir un accès efficace à une éducation de qualité à tous les enfants et jeunes, les villes doivent établir des liens avec un certain nombre d'autres secteurs, dont la santé, la culture, l'urbanisme, les sports, le logement, les transports et le marché du travail. La ville est un lieu privilégié pour analyser ces relations, et la recherche vise à tirer des enseignements de ces passerelles et des réalités de ces villes. »
La collaboration avec une série de partenaires a jusqu'à présent été essentielle pour rendre cette recherche possible, d'abord en France et maintenant au niveau mondial. Outre les villes, l'IIPE s'est associé à l'Université de Glasgow, aux centres de recherche GCRF Centre for Sustainable, Healthy and Learning Cities and Neighborhoods (SHLC), au Réseau des villes apprenantes de l'Observatoire PASCAL , ainsi qu’au Réseau mondial des villes apprenantes de l'Institut de l'UNESCO pour l'apprentissage tout au long de la vie (UIL).
En plus de quatre villes françaises qui ont servi à la conception de cette étude (Grigny, Ivry-sur-Seine, Orvault et Saint-Quentin ) cette recherche pratique - Villes et Éducation 2030 - est désormais mondiale, englobant cinq villes sur trois continents : Dhaka et Khulna (Bangladesh), Medellín (Colombie), Manille (Philippines) et Kigali (Rwanda). La taille et la situation géographique des villes participantes varient de 2,5 millions d'habitants à Medellin à plus de 21 millions à Dhaka.
Pour l'article complet : La recherche Villes et Éducation 2030 s'étend au monde entier
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