L'usage de l'analogie "1984" de George Orwell et de son "Big Brother" a été galvaudé. Pourtant, petit à petit, il semble bien que nous ayons passivement accepté de nous exposer. Nous le faisons même en toute connaissance de cause comme le décrit le philosophe et professeur de droit américain Bernard Harcourt dans son ouvrage "La société d'exposition". Ce dernier s'inquiète que nous laissions de grandes entreprises prendre nos données sans cesse, sans jamais vraiment savoir ce qui en est.
Des scandales comme Cambridge-Analytica ou ceux révélés par Edward Snowden montrent bien les dérives potentielles de cette accumulation de renseignements dans la question de la propagande politique, par exemple.
Bien souvent, l'aspect sécuritaire est utilisé pour expliquer les caméras de surveillance de plus en plus présentes ou l'utilisation de reconnaissance faciale afin de retrouver des enfants kidnappés. Or, comme le rappelle l'auteur, il nous faudra être plus prudent et critique par rapport à ces technologies et, surtout, leurs usages par des groupes puissants qui peuvent s'en servir contre nous.
Le plagiat est quelque chose que les gens ne pardonnent pas. Si quelqu'un attend la publication de votre travail, il s’attend à ce que l'éthique de l'écriture soit respectée. Copier du contenu volontairement ou non est une grave violation de cette éthique. Une fois votre réputation entachée, il sera difficile de la regagner, il est préférable d'être prudent.
En France, 44 % des femmes et 54 % des hommes sont en situation de surcharge pondérale avec un important excédent de graisse, soit environ un adulte sur deux. La plupart des causes de cet état de fait sont directement liées aux changements apportés par notre société moderne, notamment de la profonde mutation des modes de vie, de la facilité d’accès à l’alimentation et d’une importante réduction du niveau d’activité physique.
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