Le métier de psychologue ou de thérapeute n'a rien de facile. Jour après jour, ils doivent soutenir des personnes aux problématiques diverses à se sentir mieux, à cheminer par petits pas et s'aider. Cela peut déjà être lourd sur le moral. Mais qu'en est-il en temps de crise? Cela devient d'autant plus complexe. La covid-19 a été source d'un nombre croissant de dépressions, d'anxiétés et d'idées suicidaires... et pas seulement dans la population en général.
Une équipe de recherche de l'UQAM a soumis un questionnaire en ligne à des centaines de professionnels de la santé mentale et des gens hors de cette profession. Ils ont voulu voir les effets psychologiques ressentis dans les zones plus contaminées.
Force est de constater que les psychologues en région à risque souffraient autant de problèmes que la population en général. Ce qui n'était pas le cas pour ceux travaillant dans des milieux moins touchés par la maladie. Il faut dire que les demandes d'aide étaient bien plus nombreuses dans les aires critiques. Ce qui n'a pas aidé sur la pression qu'ont ressentie les psys vivant eux aussi au jour le jour cette pandémie.
Pour lire la suite
Illustration : Gerd Altmann de Pixabay
En savoir plus sur cette
ressource
Visiter uqam.ca
Voir plus de ressources de cette institution