Personne n'aime l'échec. Il fait très mal et ébranle notre estime de soi. Les autres peuvent le considérer comme un sujet de raillerie. Une grande partie d'Internet repose sur le sentiment portant le nom allemand de "Schadenfreude" : la joie de voir les autres échouer. Bref, un univers très peu bienfaisant qui donne l'idée que de ne pas réussir est une honte.
Or, cela est une vision très réduite et trompeuse. Comme le rappelle le célèbre chef français Thierry Marx, les échecs sont autant, sinon plus importants, que les réussites car ils sont porteurs de savoirs.
Il raconte que la faillite de son premier restaurant lui a permis de réaliser ses failles en tant que gestionnaire mais aussi ces forces pour se démarquer à titre de chef. Et si donc la perception des revers changeait?
Au lieu des formations classiques, les programmes sont développés pour aider les étudiants, chômeurs, professionnels en réorientation de carrière, bref de toutes les couches sociales, à créer des profils adaptés reconnus et qui répondent à un besoin réel dans le marché des compétences.
Un physicien du LPT (Laboratoire de physique théorique de Toulouse) et ses collègues d'outre-Atlantique (IQC et MIT) proposent un nouvel algorithme quantique qui permettra d'accélérer de manière exponentielle la procédure d'ajustement des ordinateurs quantiques.
Dans cet intéressant article de André Magny, on découvre comment des enseignantes se connectent avec succès à leurs élèves. Cela ne se fait pas tout seul, mais les résultats sont très satisfaisants autant pour les professeurs que leurs élèves.
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