Publié le 24 mars 2021 Mis à jour le 10 janvier 2024
En somme, la loi du moindre effort optimal serait aussi le remède à l’anxiété, mais à condition de voir plus large que sa seule personne et de considérer de plus longues périodes de temps. Il y aura sans doute des gens pour dire «Calme-toi un peu»… et vous leur répondrez «C’est bien trop difficile de ne rien faire !».
Cet article est réservé aux abonnés à l'édition intégrale. Vous pouvez vous abonner Ici.
Accédez à des services exclusifs gratuitement
Inscrivez-vous et recevez nos infolettres en pédagogie et technologies éducatives
Vous pourrez aussi indexer vos ressources préférées et retrouver votre historique de consultation
M’abonner à l'infolettreVous pourriez aussi aimer:
Peut-on combler ses lacunes en Maths grâce à des cours particuliers durant les vacances d'été ?
Avoir une aide extérieure peut-être d’une vraie aide, surtout quand on a l’impression d’être tout à fait perdu.
La méritocratie promeut l'idée que tous peuvent, par beaucoup d'efforts, s'extirper de leur classe sociale pour atteindre des échelons au-dessus. Si certains y sont effectivement arrivés, la réalité se veut plus nuancée. La philosophe Chantal Jacquet a brossé un portrait réaliste de ces "transclasses" qui, par le fait même, déconstruit le discours méritocratique ambiant.
Trop d’intensité dans l’exercice affaiblit le cœur
S’entraîner est une excellente chose. Or, trop pousser la machine qu’est le corps peut avoir des conséquences néfastes dans le futur. Des chercheurs ont testé l’impact d’intenses entraînements sur le cœur. Cela met à mal une partie du muscle cardiaque.
Responsabilisation, autonomie, participation
Depuis quelques années, les indices d’une vaste recomposition du travail n’ont cessé de se multiplier. Outre la révolution numérique dont on commence à percevoir et à anticiper les nombreux effets, il faut compter avec de nouvelles formes de gestion des activités productives qui en appellent à toujours plus d’engagement au travail, de responsabilités sociales, de collaborations horizontales...
Nous sommes gouvernés par des bactéries
Nous aimons penser que nous sommes la forme de vie la plus évoluée sur la planète. S'il est vrai que notre cerveau est très développé, nous oublions que nous sommes le produit de multiples facteurs et surtout de milliards de bactéries qui vivent sur nous. En fait, nous devons notre longévité à ces microorganismes qui ont laissé des traces indélébiles, y compris dans notre ADN.
