«Si internet était un pays il serait le 6ème consommateur d’énergie et le 7ème émetteur de CO2 de la planète !»
Bien sur, et il occupe aussi une place prépondérante dans nos vies et ça ne fait que s'accentuer avec le confinement.
On en tire des avantages certains, cependant des inconvénients commencent à s'accumuler sérieusement et ils ne sont pas que coté environnemental; sur les plans social, culturel, économique, de la santé physique et mentale et même comportementale, différentes manifestations apparaissent partout où le numérique s'introduit.
Si actuellement près de 50 % de la population mondiale a accès à internet, ce sera 90 % d'ici 10 ans avec le déploiement des nuées de satellites de communication à basse altitude. Ce qui ne présage rien de bon coté consommation ou politique si rien n'est fait.
Là où l’économie de la fonctionnalité rencontre l’esprit
low-tech, c’est lorsque l’on questionne les besoins : on peut alors
redimensionner la technologie et étendre le modèle aux services et à
l’immatériel.
L'article «Et si on parlait sobriété numérique ?» de Jean-Luc Peuvrier livre plusieurs données intéressantes et pistes d'actions pour mitiger les effets indésirables du numérique.
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