La reconnaissance faciale fonctionne... et ça a des conséquences
La reconnaissance fonctionne suffisamment bien pour être utilisée. Reste à bien baliser dans quel but, par qui et jusqu'où.
Publié le 21 avril 2020 Mis à jour le 21 avril 2020
Les écosystèmes montagneux ne sont pas ceux qui sont les plus affectés par l’humain. Or, l’empreinte biologique des changements climatiques peut se voir malgré tout très bien dans ces milieux naturels. Ainsi, notre planète se réchauffant de plus en plus, des plantes et fleurs migrent en hauteur pour obtenir un peu de fraîcheur.
Or, ces migrations ont des répercussions majeures observées par les biologistes. Elles prennent déjà la place de végétation alpine là bien avant, ce qui pourrait mener à la disparition d’autres espèces. De plus, cela change la réalité des pollinisateurs qui doivent grimper davantage afin d’avoir accès au pollen. Qui plus est, les microorganismes du sol en haute altitude sont différents avec ceux de basse altitude et cela a un impact sur l’osmose entre ces migrantes végétales et la terre.
Durée : 19min29
Illustration : Free-Photos de Pixabay
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