Donald Trump l’avait clairement dit durant sa campagne présidentielle de 2016 que l’immigration allait baisser de façon drastique aux États-Unis, particulièrement à la frontière sud. Les Mexicains et gens d’Amérique latine sont vus par les supporters du président comme des criminels en puissance, venus apporter de la drogue et de la violence. Or, Brut est allé documenter la réalité de camps de réfugiés au Mexique.
La plupart des demandeurs d’asile proviennent du Salvador, du Honduras et d’autres pays d’Amérique centrale qui vivent dans le chaos à cause des narcotrafiquants, entre autres. Ils ont marché des milliers de kilomètres afin d’offrir une vie meilleure à leur famille. Or, ils poireautent à la frontière, attendant de voir un agent de l’immigration. Certains sont prêts à essayer de traverser le Rio Grande, quitte à en mourir ou à être dépossédés de ses enfants qui finiront incarcérés dans des centres.
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600 000 réfugiés Rohinghas sont relocalisés dans une zone où personne ne s'est jamais installé dans un pays pourtant surpeuplé... car la zone est inondée à chaque mousson et les méandres changeants de la riviére rendent tout lotissement impossible. Comment Autodesk aide à trouver les solutions...
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