Faciliter l’accès aux Grandes Écoles de Commerce
La diversité des parcours et des milieux sociaux vient contrecarrer une croyance qui a la vie dure : le coût de ces parcours prestigieux n’est accessible qu’à une élite financière.
Publié le 17 mars 2020 Mis à jour le 17 mars 2020
Uber se veut une alternative aux systèmes de taxi traditionnels. Ainsi, toute personne ayant un permis de conduire et postulant au service peut devenir chauffeur Uber et gagner de l’argent en emmenant des gens. Formidable, non? Le client paie moins cher et pour certains, il s’agit d’une source de revenus supplémentaire. Sauf que l’application s’assure que ses chauffeurs fassent des courses sans arrêt pour augmenter son capital.
L’émission Dopamine d’Arte explique très bien comment Uber a compris à stimuler cette dite hormone dans le cerveau des conducteurs. Ainsi, subtilement afin de donner l’impression de liberté, elle pousse à conduire plus avec l’établissement d’objectif ou en usant de « l’autoplay ». À la manière des services de vidéo en ligne, une nouvelle demande s’affiche alors qu’un trajet n’est pas entièrement fini. Le tout question de susciter l’appât du gain chez les conducteurs tandis que ce sont davantage les propriétaires de l’application qui s’en mettent plein les poches.
Durée : 6min21
Illustration : Dan Gold sur Unsplash
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