La demande pour de l’apprentissage collaboratif synchrone dans les écoles secondaires croît à un taux de 43 % selon les données de Ambient Insight market research.
En fait, à choisir entre la formation à distance autonome (self-paced) et la collaboration synchrone, la collaboration synchrone est largement favorisée au secondaire du fait que les aspects d’accompagnement humain nécessaires sont plus importants pour les jeunes au début des apprentissages, et ce dans toutes les matières.
Mais même plus tard, quand des cours autonomes sont suivis, l’accès direct à des instructeurs et tuteurs en ligne est toujours utilisé.
Mais il y a plus : la demande pour l’apprentissage collaboratif en temps réel est favorisée par plusieurs facteurs économiques, techniques et sociaux, mais c’est surtout l’expérience positive des utilisateurs qui est le facteur déterminant de l’essentiel de la demande.
La racine de cette expérience positive paraît être le transfert effectif et efficace de la connaissance qui propulse la demande pour les cours incluant de la collaboration synchrone.
Par ailleurs, on prévoit que plus de 75 % de tous les étudiants suivront une partie ou tous leurs cours en ligne d’ici 10 ans, comparativement à 17 % actuellement.
En 2006 aux États-Unis, plus de 600 000 étudiants ont participé à une sorte ou une autre d’apprentissage virtuel. Le nombre d’étudiants en ligne à temps plein est d’au moins 90 000. Deux des plus grosses écoles virtuelles, soit la Utah Electronic High School et la Florida Virtual School comptent à elles seules 35 000 et 33 000 étudiants respectivement.
De plus, 24 états ont déjà de telles écoles virtuelles et leurs inscriptions augmentent de 17 à 20 pour cent par année, en moyenne.
Pour le texte complet : Real-Time Collaboration par Sam S. Adkins
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