Avec les évolutions climatiques, la désertification et l’étouffement guettent à terme notre planète. Il faut donc lancer le pavé dans la mare et travailler tous ensemble à éviter le scénario catastrophe puisque cet état de fait est dû en majeure partie à l’activité humaine. Chaque pays peut identifier ses propres indicateurs, sensibiliser et faire participer ses citoyens. La conjugaison des efforts des secteurs public, associatif et privé apporte une dynamique d’enrichissement et permet de faire face concrètement aux enjeux des temps à venir. L’éducation prépare au défi. Quand on interroge les enseignants français sur leur formation, 75 pour cent d’entre eux sont insatisfaits. Ils souhaitent "une formation d’avantage orientée vers la pratique et un plus grand soutien de la communauté éducative". Et pourtant, les outils de plus en plus maniables et mobiles engagent à une participation élargie. Le "cartable numérique" d’antan tient aujourd"hui dans la poche, la recherche d’information se base sur les médias, les blogues et les publications des membres de la communauté... Chacun peut faire preuve de résilience, apporter son influence à tous les niveaux, pour la conservation des espèces et un meilleur bien être pour tous. Il ne nous reste plus qu’à passer à l’action !
Trouvez des liens chauds pour comprendre le réchauffement climatique; restaurer rapidement un sol pauvre ou aride, mode d’emploi; grenouilles, fleurs, vers, gel : apprenez à faire vos observations et mettez-les en rapport avec celles des autres; participez à Ekopedia, le wiki écologique; réutilisation, recyclage et récupération des ordinateurs pour les écoles : toutes les ressources; cours de rattrapage en ligne et écoles d’été dans le rouge; comment les TIC peuvent-elles faire mouche en formation enseignante ? Le blogue devient instrument d’apprentissage; vacances en ligne et vacances insolites; découvrez la France vue du ciel en 2D et appréciez les langues de France en chansons. En cette période estivale, l’édition de Thot paraîtra toutes les quinzaines. Bonnes découvertes, Martine JaudeauRédactrice en chef