Faciliter l’accès aux Grandes Écoles de Commerce
La diversité des parcours et des milieux sociaux vient contrecarrer une croyance qui a la vie dure : le coût de ces parcours prestigieux n’est accessible qu’à une élite financière.
Publié le 26 février 2003 Mis à jour le 26 février 2003
Depuis plus d’un an, l’Afrique a commencé a montré son propre intérêt dans l’adoption et l’utilisation des technologies numériques dans tous les domaines. Thot a également montré en quoi ces technologies s’adaptaient dans le continent et l’impact positif ou non qu’elles y avaient.
L’éducation a été le premier domaine qui se soit vraiment intéressé aux TIC, puis sont venues, l’économie, l’agriculture, la démocratie et, petit à petit, la télémedicine. Maintenant, l’échelle d’utilisation de l’Internet en Afrique prouve que l’insertion de la toile est de plus en plus nette. Il appartient aux commerciaux et autres bailleurs de se livrer une fois de plus la bataille en Afrique.
La recherche par moteurs imposés va enfin être facilitée grâce à Google qui vient d’africaniser ses modules. Les rubrique et les instructions sont toutes présentées en swahili. Si la recherche scientifique en swahili trouve en cette innovation un vrai coup de fouet, la recherche dans les autres langues demeure possible à partir de ce site swahili.
Les organisateurs ont donc commencé à utiliser sur le net une des langues les plus parlées en Afrique Noire au Sud du Sahara, le swahili. Toute l’Afrique orientale et australe s’exprime en swahili et une grande partie de l’Afrique centrale (Le Congo, le Burundi, le Rwanda) utilise cette langue transfrontalière.
Désormais, il est donc possible d’entreprendre des recherches en swahili avec Google. Les développeurs peuvent penser aux autres langues internationales africaine que sont le bambara, le fufuldé, le hausa, etc.
Mais, il serait intéressant que ces développements soient effectués par les Africains eux-mêmes pour que les contenus conviennent à leurs besoins et que ne leur soient pas imposées des idées étrangères. La coopération linguistique et technologie s’imposent pour que l’Afrique ait réellement son mot à dire lors des échanges relatifs au développment de l’Internet.
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