Le cap Diamant à Québec est un des plus beaux lieux de la capitale, soutenant la terrasse Dufferin. Or, celui-ci a été probablement un des lieux géologiques les plus « dangereux ». En effet, le site a connu de nombreux éboulements meurtriers par le passé. Or, celui du 19 septembre 1889 a été le plus violent : 43 morts et 77 blessés. Aurait-il été possible de prévoir cette catastrophe? Sachant que deux éboulements quelques décennies auparavant (1841 et 1852) avaient fragilisé le sol et avaient laissé des marques que des artistes avaient perçues.
En effet, les chercheurs de l’université Laval ont découvert que des artistes du 19e siècle avaient noté cette précarité. Que ce soit en photos ou en croquis, la fissure menant à l’éboulement de 1889 est visible. Depuis, heureusement, des travaux ont été faits afin de stabiliser la falaise et empêcher des catastrophes comme celles ayant eu lieu entre 1841 et 1889.
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