Publié le 09 septembre 2019 Mis à jour le 09 septembre 2019
Les tests sanguins ont permis de détecter de nombreuses pathologies chez les humains. Or, certains maux semblaient jusqu’à maintenant indétectables par le sang. Ainsi, une maladie dégénérative comme le Parkison s’attaquant surtout au cerveau et aux neurones ne pouvaient pas transparaître dans l’analyse sanguine. C’était du moins vrai jusqu’à ce que des chercheurs découvrent un biomarqueur pouvant déterminer le stade de la maladie et, donc, le traitement approprié.
En effet, des scientifiques ont remarqué que chez les patients atteints du Parkinson, les globules rouges ont un plus grand nombre de microvésicules extracellulaires. Celui-ci suit étonnamment bien les divers stades établis par les neurologues avec les tests cliniques. Évidemment, il faudra encore différents tests pour confirmer cette théorie mais si cela devait s’avérer juste, le corps médical aurait enfin un indicateur clair de la maladie.
Illustration : Arek Socha de Pixabay
En savoir plus sur cette ressource
2325, rue de l’Université
Québec, Qc - G1V 0A6
Canada
1 877 606-5566
Voir le profilAccédez à des services exclusifs gratuitement
Inscrivez-vous et recevez nos infolettres en pédagogie et technologies éducatives
Vous pourrez aussi indexer vos ressources préférées et retrouver votre historique de consultation
M’abonner à l'infolettreVous pourriez aussi aimer:
La lecture a des bienfaits chez les enfants et les adolescents; les soutiens et encouragements de leur entourage peuvent les inciter encore plus à s'y adonner.
Quand la nouvelle archéologie confronte l’Ancien Testament
Dans un séminaire en ligne, «Les origines d’Israël à la lumière de la Bible et de la nouvelle archéologie» organisé par la Chaire de leadership en enseignement Marcelle-Mallet en exégèse biblique de l’Université Laval, Hervé Trembaly présente les découvertes qui ont mené aux conclusions que presque rien de ce qu’affirme l’Ancien Testament ne semble s’être réellement passé ou avoir eu lieu.
Les problèmes de reproduction des saumons nés en captivité
Des chercheurs du Département de biologie de l’Université Laval s’inquiètent des capacités de reproduction des saumons élevés en captivité. D’après leurs travaux, les saumons sauvages ont un succès reproducteur deux fois supérieur à ceux élevés en captivité, ce qui pose problème pour la restauration de la population de cette espèce.
Améliorer la gestion de l’eau : l’exemple québécois
Depuis le lancement en mars dernier de l’Institut International de l’aquaresponsabilité, le Québec se retrouve sur le devant de la scène en tant qu’objet d’étude sur sa gestion de l’eau au plan municipal. Dans ce communiqué de l’Université Laval, Peter Vanrolleghen responsable scientifique sur ce projet explique plus précisément le rôle que l’état québécois devra mener.
Portrait des usages du numérique dans les écoles québécoises
Enquête réalisée auprès de 604 directeurs d'établissements scolaires du primaire et du secondaire, sur un total de plus de 2600 établissements publics et privés.
