Chaque apprenant a des forces et faiblesses par rapport à des éléments du cursus scolaire que ce soit les langues, les sciences, l’éducation physique, etc. Or, peu de matières occasionnent des situations aussi viscérales que les mathématiques. L’anxiété mathématique toucherait un tiers des jeunes lorsqu’ils tentent de résoudre un problème.
Il faut dire que beaucoup de stéréotypes sont partagés par rapport à cette science : elle est compliquée, les garçons sont plus outillés que les filles pour la comprendre, il faut avoir une compétence spéciale pour s’en sortir (la fameuse « bosse des maths »), etc. Or, ces perceptions sont toutes fausses et participent à la création de l’angoisse envers les travaux en mathématiques. Et si, au fond, l’enseignement de cette discipline ne méritait pas d’être revu afin que tous se sentent compétents?
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Illustration : Melanie Wasser sur Unsplash
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