Les réseaux sociaux, comme Twitter, Facebook ou Instagram, permettent à toute personne de joindre un très vaste public, qu’il est possible d’élargir ou de restreindre à volonté. En tant que citoyen-utilisateur propriétaire de comptes sur ces réseaux sociaux, je suis en effet le seul à décider de celles et ceux à qui je souhaite permettre de voir ou de commenter mes publications.
Toutefois, à partir du moment où une institution publique (ou ses représentants) choisit d’avoir recours aux réseaux sociaux pour diffuser des informations d’intérêt général, cette liberté d’y bloquer l’accès devient beaucoup plus limitée. Or, depuis les derniers mois, un nombre grandissant d’utilisateurs déplorant cette pratique du blocage de la part d’élus se sont manifestés.
Un article de Louis-Philippe Lampron, professeur à la Faculté de droit de l'Université Laval.
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Crédit photo : Pixabay
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