Faciliter l’accès aux Grandes Écoles de Commerce
La diversité des parcours et des milieux sociaux vient contrecarrer une croyance qui a la vie dure : le coût de ces parcours prestigieux n’est accessible qu’à une élite financière.
Publié le 18 octobre 2005 Mis à jour le 18 octobre 2005
Trois chercheurs du laboratoire Ishikawa Namiki de l’université de Tokyo ont inventé une interface sans accessoire en scannant en temps réel les coordonnées spatiales d’un objet.
Manipuler textes, chiffres et images sur une surface invisible, comme si on les tenait réellement entre ses mains, c’est l’idée de base de l’équipe de Tokyo, mais l’originalité de Smart Laser Scanner for Human-Computer Interface, c’est qu’avec cette interface, il n’y a pas besoin de gants tactiles, ni de marqueurs optiques sur les objets, ni de caméras stéréoscopiques hors de prix.
Le projet utilise un ensemble constitué d’une diode laser, de minuscules miroirs et d’un photodétecteur qui scanne en temps réel les coordonnées tridimensionnelles de l’objet ciblé - en l’occurrence, souvent le bout des doigts de l’utilisateur. Seuls ces derniers sont scannés précisément, et non l’ensemble de la surface.
Les premiers tests ont permis de surfer sur internet du bout des doigts ou de manipuler une double hélice d’ADN d’une seule main. Bientôt la possibilité de manier plusieurs objets simultanément ou d’écrire quelques mots dans le vide...
Les chercheurs de Tokyo ont inventé l’interface homme/machine du futur. Un moyen de manipuler une page Web, par exemple, sans besoins de clavier ni d’écran.
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