Manger local ? Une campagne de pub par les étudiants de l'Université Laval
21 étudiants du cours «Techniques de l’image» à l'université Laval ont entrepris un projet de tournage de courts films publicitaires sur le thème de «Manger local»...
Publié le 03 octobre 2018 Mis à jour le 03 octobre 2018
La stratification sociale de Montréal a été historiquement caractérisée par un clivage linguistique anglais-français qui s’est mis en place lors de l’essor industriel et commercial de la ville. Les francophones montréalais étaient alors en majorité ouvriers, petits commerçants, artisans et entrepreneurs de condition modeste alors que les élites de langue française étaient surtout constituées de membres des professions libérales (avocats, notaires, médecins, etc.).
Si Montréal comptait un certain nombre d’ouvriers anglophones –notamment des immigrants irlandais et des Européens fraîchement débarqués ayant opté pour l’anglais–, l’élite du monde des affaires et les grands propriétaires d’usines et de sociétés diverses (banques, etc.) étaient anglophones. La situation a radicalement changé dans la foulée de la Révolution tranquille. C’est le résultat de ce changement que nous explorons dans ce billet.
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