Lire l'avenir dans les plantes
Un groupe de recherche de l’Université Laval a découvert que la présence de certains végétaux était un indicateur précoce du succès de la restauration d’une tourbière.
Publié le 27 janvier 2016 Mis à jour le 27 janvier 2016
Un milliard et demi de dollars! C’est le montant que les Québécois donnent chaque année à une multitude de fondations et d’organismes communautaires enregistrés auprès de l’Agence du revenu du Canada. À cette générosité officielle il faut ajouter un autre milliard de dollars en dons de toutes sortes, non déclarés, et au moins autant en équivalent bénévolat. «Une philanthropie essentielle, qui contribue à la cohésion de notre société et nous procure un sentiment d’humanitude émanant de ce qu’il y a de profond en nous», analyse Yvan Comeau, professeur à l’École de service social et ex-titulaire de la Chaire de recherche Marcelle-Mallet sur la culture philanthropique de l’Université Laval.
Certes, les Québécois donnent moins que leurs concitoyens du reste du Canada, et la générosité sollicitée est souvent le fruit d’une habile campagne de marketing. N’empêche: avec beaucoup de succès intéressants, la philanthropie est à la hausse, sans compter qu’au Québec, elle se double d’un filet social plus généreux que dans les autres provinces.
Crédit photo : SvetaZi / Shutterstock.com
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