État actuel de l’enseignement en ligne en université*
L’aspect humain est plus important dans l’apprentissage virtuel que dans l’apprentissage présentiel.
Publié le 18 mai 2015 Mis à jour le 18 mai 2015
Le crash volontaire de l'Airbus A320 de la Germanwings, qui a fait 150 victimes mardi 24 mars 2015, pose des questions sur le suivi psychologique des pilotes. Les enquêteurs allemands ont révélé qu’Andreas Lubitz, le jeune copilote de 27 ans soupçonné d’avoir délibérément fait chuter l’avion, avait suivi un traitement pour des tendances suicidaires dans le passé et qu’il faisait l’objet d'un arrêt de travail le 24 mars, jour du crash.
Cet épisode tragique nous confronte à des problèmes psychologiques et éthiques. Troubles dépressifs, bipolaires, variations anormales de l’humeur : est-il possible de prévenir une « crise suicidaire » ? Le secret médical doit-il être limité pour des professions comme celle de pilote ?
Crédit photo : Nicolas Economou / Shutterstock.com
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