Comprendre l’ironie lorsque l’on souffre de troubles cognitifs
Une équipe de chercheurs de l’Université Laval a découvert que les personnes âgées atteintes d'un trouble cognitif léger peinent à comprendre l'ironie.
Publié le 04 mars 2019 Mis à jour le 04 mars 2019
Date: 04 mars 2019 au 25 mars 2019
Ce qui peut faire gagner ou perdre du poids ne se mange pas dans ce cas-ci : il s'agit des médias sociaux.
«Il y a deux semaines, je me suis abonné à une page Facebook réunissant des gens qui s’entraident pour perdre du poids. Jusqu’à maintenant, j’ai perdu 14 jours.»
Cette variante d’une blague classique illustre bien le paradoxe des médias sociaux et de la perte de poids. En théorie, les médias sociaux constituent une plateforme intéressante pour les personnes qui veulent en savoir plus sur les bonnes habitudes alimentaires ou qui cherchent du soutien pour perdre quelques kilos. En pratique toutefois, les médias sociaux ont surtout un effet négatif sur l’image corporelle des femmes.
C’est le constat auquel arrivent Audrée-Anne Dumas et Sophie Desroches, de l’École de nutrition, au terme d’une analyse minutieuse de quelque 80 études consacrées aux liens entre les médias sociaux, le contrôle du poids et l’image corporelle.
Les deux chercheuses, rattachées à l’Institut sur la nutrition et les aliments fonctionnels et au Centre de recherche du CHU de Québec – Université Laval, viennent de publier leurs conclusions dans la revue Current Obesity Reports.
L'article indique dans quelle direction pointent les connaissances actuelles sur le sujet.
Maigrir grâce aux médias sociaux?
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