Publié le 11 février 2015Mis à jour le 11 février 2015
À quoi servent encore les expositions ?
En 2014, la Suisse fêtait les 50 ans de sa grande exposition nationale. Retour sur le phénomène de l'exposition universelle et de son importance aujourd'hui.
En 2014 on a célébré le cinquantenaire de ce qui était en soi une célébration : à croire que du statut de célébration, l’Expo de 64 a acquis celui d’événement historique. Son modèle est né au 19e siècle pour mettre en spectacle la modernité triomphante du monde occidental. Il a perduré au 20e siècle, avec des relents traditionnalistes dans l’entre deux guerre, beaucoup plus modernistes en 1964.
En Suisse, Expo 02 a voulu ouvrir la porte du 21e siècle ; très controversée elle n’aura pas empêché qu’une Expo 2027 soit annoncée dans le faisceau des projecteurs rallumés pour commémorer l’Expo 64. Il semble que le dispositif « Expo » – nationale, internationale, universelle – ait pour destinée d’accompagner les étapes de l’histoire du monde occidental moderne.
Intervenants Jacqueline Fendt, Professeure ESCP Europe, Paris Nicolas Bideau, Ambassadeur de Présence Suisse François Vallotton, Professeur UNIL, Section d’histoire, Faculté des lettres Olivier Lugon, Professeur UNIL, Section d’histoire et d’esthétique du cinéma, Faculté des lettres Yohan Ariffin, Maître d’enseignement et de recherche UNIL, Faculté des sciences sociales et politiques
Ce qui peut paraître très éloigné de nos préoccupations, les règles de droit appliquées aux médias et au journalisme, ont pourtant des répercussions quotidiennes dans nos activités. Il en va de la qualité de l'information.
À quoi ressembleront les familles du futur ? Quel sera l’impact des politiques sociales sur l’environnement familial ? À partir de février 2013, un grand projet de recherche européen sur la famille débute, avec la participation de quatre chercheurs de l’UNIL, pour répondre à ces questions.
Dans cette vidéo en collaboration avec le Centre de compétence en durabilité de l'Université de Lausanne, Trash Talk s'intéresse à la problématique du gaspillage alimentaire.
Des chercheurs suisses ont découvert des pistes thérapeutiques inédites dans le traitement de la douleur. Ils ont identifié un nouveau mécanisme de dérégulation responsable des douleurs neuropathiques.
Quand elles sont confrontées à une inondation, les fourmis s'accrochent les unes aux autres pour former un radeau vivant. De plus, elles exploitent la flottabilité de leur couvain et résistent remarquablement bien à la submersion, selon une étude publiée dans l'édition du 19 février 2014 de la revue PLOS ONE par la Dre Jessica Purcell et l'équipe de Michel Chapuisat, au Département d'écologie et évolution (DEE) de l'UNIL.
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