Darwin et l’écologie du cosmos
André Desrochers, professeur à l'Université Laval, fait le lien entre l'écologie du cosmos et celle sur Terre. Sur son blogue, il évoque les constantes fondamentales.
Publié le 09 juin 2014 Mis à jour le 09 juin 2014
Date: 09 juin 2014 au 09 juin 2015
L'espoir placé dans les greffes de cellules foetales neuronales pour traiter les patients atteints de la maladie de Huntington s'estompe à mesure que s'accumulent les études montrant l'absence d'effets durables de cette intervention. Une équipe de la Faculté de médecine et du CHU de Québec, dirigée par la professeure Francesca Cicchetti, pourrait bien avoir cerné la raison pour laquelle les cellules transplantées ne parviennent pas à améliorer l'état des patients. Selon l'étude publiée par cette équipe dans le dernier numéro de la revue Annals of Neurology, les tissus greffés seraient infiltrés par les protéines mutées provenant des cellules adjacentes de l'hôte.
La maladie de Huntington est un trouble neurodégénératif d'origine génétique qui provoque des mouvements involontaires ainsi que des troubles cognitifs et psychiatriques allant jusqu'à la perte d'autonomie et à la mort. Elle est causée par une mutation dans le gène de la huntingtine, une protéine qui joue un rôle dans la régulation de plusieurs fonctions cellulaires. La protéine défectueuse forme des agrégats qui conduiraient à la dégénérescence des neurones.
Lire l'article sur le site de l'Université Laval
Crédit photo : vitstudio / Shutterstock.com
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