Chercheuse d'eau douce au Québec
Alison Derry, professeure au Département des sciences biologiques à l’UQAM a mené ses étudiants dans la région des Laurentides au Québec pour mener un projet d’étude de l’impact anthopogéniques sur les écosystèmes.
Publié le 24 novembre 2013 Mis à jour le 24 novembre 2013
Date: 24 novembre 2013 au 31 décembre 2018
Ne cherchez pas la salle à manger chez Claude Champoux (M.A. muséologie, 07). La petite pièce qui jouxte la cuisine de son appartement du quartier Hochelaga-Maisonneuve a été convertie depuis belle lurette en atelier d'artiste. Les deux tables à dessin sont garnies d'équerres, de pots de colle et de couteaux de précision. L'astronome amateur y a passé des heures à fabriquer des maquettes reproduisant tantôt le système solaire, tantôt les cratères de la Lune. Les étagères superposées jusqu'au plafond débordent d'étoiles en carton, de planètes en plastique et de galaxies en styromousse. «C'est tout l'univers que vous avez devant vous», dit fièrement ce diplômé de la maîtrise en muséologie, qui a aussi complété un certificat en animation culturelle, en 1981, et un programme court de deuxième cycle en éducation relative à l'environnement, en 2011.
Animateur au Planétarium de Montréal depuis 2007, Claude Champoux a l'habitude de guider les visiteurs à des années-lumière de la Terre. Il y a cinq ans, toutefois, c'est lui qui a entrepris un voyage dans un monde qui lui était inconnu: celui des malvoyants. «J'ai entendu parler d'ateliers à Buenos Aires où l'on initiait les aveugles à l'astronomie, raconte le bricoleur. L'idée m'a séduit. J'ai commencé à imaginer des maquettes qui permettraient aux handicapés visuels d'appréhender l'univers par le toucher.»
Crédit photo : © Nathalie St-Pierre.
En savoir plus sur cette actualitéAccédez à des services exclusifs gratuitement
Inscrivez-vous et recevez nos infolettres en pédagogie et technologies éducatives
Vous pourrez aussi indexer vos ressources préférées et retrouver votre historique de consultation
M’abonner à l'infolettre