Sommets inexplorés en Antarctique
Découvrez l'expédition en Antarctique de l'équipe de XP Antarctik, qui permet à une doctorante de l'UQAM d'étudier l'adaptation du corps humain aux conditions extrêmes, avant, pendant et après le voyage.
Publié le 06 février 2013 Mis à jour le 06 février 2013
Date: 06 février 2013 au 01 janvier 2018
Le professeur Martin Lussier, du Département de communication sociale et publique à l’UQAM, a bien connu la vie de musicien. De 1992 à 2004, il a été batteur au sein des Marmottes aplaties, un groupe punk-rock-garage francophone. Une expérience qui a beaucoup influencé ses recherches universitaires.
Après avoir réalisé un mémoire portant sur la musique punk, Martin Lussier s'est intéressé aux musiques émergentes, un terme fourre-tout qui peut qualifier à la fois des artistes de la relève et des musiciens de la scène locale ou alternative, comme Arcade Fire, Malajube et Karkwa. Il ne cherche pas à définir ce que sont les musiques émergentes, mais à mieux comprendre comment cet ensemble disparate peut constituer un tout.
«Cet ensemble flou, hétérogène et difficile à définir n'est pas à proprement parler un style de musique et ne se catégorise ni par un son ni par une étape de carrière, dit-il. Les musiques émergentes se composent d'éléments hétérogènes – sons, organismes, acteurs, enjeux, lieux, événements – qui ne se réduisent pas aux modes de regroupement les plus usités en musique populaire – genre, style, sous-culture et communauté», explique le chercheur, dont l'essai Les musiques émergentes. Le devenir ensemble, a été publié en 2011 aux éditions Nota bene, à partir de sa thèse de doctorat.
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Crédit photo :: Hani Amir via photopin cc
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