Marie-Hélène Poulin, doctorante en sciences cliniques à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), a présenté aujourd’hui les principales conclusions de sa recherche portant sur l’impact de la pratique des routines familiales. Son étude démontre que cette pratique aiderait le développement des compétences des enfants et contribuerait à diminuer le niveau de stress chez la mère.
Jusqu’à ce jour, peu d’information sur la pratique des routines familiales de la population québécoise sont disponibles. « Après m’être questionnée en tant que mère et professionnelle en psychoéducation, j’ai constaté qu’il y avait un besoin pour orienter le fonctionnement familial afin de mieux soutenir les enfants dans leurs apprentissages social et académique. Je me suis basée sur le principe de la routine appliquée en sciences cliniques pour les soins des enfants atteints de maladie chronique, un modèle qui a démontré qu’il y a un impact favorable sur l’adhérence aux traitements. Mes recherches avaient pour objectif de valider si ce concept, appliqué dans un contexte psychosocial, avait également des répercussions positives sur le plan du développement des enfants âgés entre 5 à 12 ans », explique la doctorante.
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Crédit photo : Pink Sherbet Photography via photopin cc
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