Publié le 03 octobre 2012 Mis à jour le 03 octobre 2012
Les professeurs de l’Université de Sherbrooke ont soigné leur image et ont joint l’utile à l’efficace. Comme tous doivent passer chez le coiffeur un jour ou l’autre, on en a profité pour les faire parler un peu, la tête sous le ciseau.
«Les salons de coiffure permettent des rencontres improbables et des conversations parfois inattendues. Souvent, on y parle de la tempête qu'on annonce ou du match de la veille. Parfois, on aborde plutôt le cancer et la génétique ou pourquoi pas, la présence des chauve-souris dans les campagnes.»
La réalisation est excellente et le ton décontracté. L’idée mérite d’être reprise, dans différents contextes. Nous verrions bien certaines sommités essayer d’expliquer ce qu’ils font à des enfants, à des travailleurs de la construction ou encore dans un endroit où leur domaine d’étude est appliqué.
La série compte 10 émissions d'une dizaine de minutes chacune, toutes réalisées en 2009, mais toujours d’intérêt.
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