Des logiciels anglophones pour apprendre à taper mieux et plus vite-
Des logiciels anglophones pour apprendre à taper mieux et plus vite-
Publié le 01 mars 2011 Mis à jour le 01 mars 2011
Une appellation générique, mais des différences non négligeables entre les licences.
Dans l'univers du libre, il exsite différentes licences qui autorisent la possibilité de modification, de rediffusion et de réutilisation offerte par l'auteur d'une œuvre de l'esprit lors de sa diffusion au public. Les noms qui reviennent souvent sont : GPL, Licence Art Libre, Licence CeCILL, Creative Commons, etc. mais il y en a bien d'autres. Qu'est-ce qui fait la spécificité de chacune de ces licences ? Réponse dans le diaporama simple et clair mis en ligne par le Net dans les Nuages.
On apprend qu'en dépit de la diversité de termes employés, il existe deux grandes catégories de licences libres : celles qui adoptent le copyleft et celles qui ne l'adoptent pas. Une licence libre de type copyleft oblige à une application systématique aux copies de l'œuvre et aux œuvres dérivées de la même licence que l'œuvre originale; tandis que le non-copyleft ne soumet pas à une pareille obligation.
Chaque licence libre se positionne en fonction de ces deux catégories mais la première catégorie comporte deux autres subdivisions : le copyleft fort (strong) et le copyleft faible (weak). A titre d'exemple la licence LGPL est une licence GPL (General Public License) à copyleft faible.
Cette ressource offre comme son nom l'indique un panorama des licences libres existantes : définition, champ d'application, spécificité. Des découvertes sont garanties !
Une liste de licences à connaître pour choisir la mieux adaptée à vos créations publiques et aux utilisations que vous en autorisez.
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